RDC : Promouvoir les meilleures pratiques mondiales, le Réseau des femmes Africaines de transformation et de commerce du poisson s’implique
En tant que forum grâce auquel les femmes peuvent partager leurs expériences, renforcer les capacités de ses membres a adopté les meilleures pratiques, coordonner leurs activités, améliorer l’accès des produits de la pêche des femmes aux marchés locaux et régionaux, et plaider en tant que « voix unique » pour leur autonomisation équitable afin de mettre en évidence et de tirer parti de leur rôle et de leur contribution critiques dans le secteur en particulier en termes de sécurité alimentaire et d’autres indicateurs nationaux de développement social et économique indique l’experte du secteur Madame Patricia Maisha Ishingwa.
L’action s’inscrit également dans les objectifs du Programme 2063 de l’UA, de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et des meilleures pratiques mondiales pour le développement durable de la pêche
artisanale et de l’aquaculture.
En 2019, précise Patricia Maisha Ishingwa, la 3ème session ordinaire de la réunion du Comité technique spécialisé des ministres responsables de l’agriculture, du développement rural, de l’eau et de l’environnement (STC3/ARDWE/MIN) a donc approuvé AWFISHENT en tant que plate-forme continentale représentant les transformatrices et négociantes de poissons non-étatiques en Afrique.
Sur ce, le Réseau est par conséquent également reconnu par le plus haut organe politique de l’UA, les chefs d’État et de gouvernement africain Conformément aux recommandations du Mécanisme africain de réforme de la pêche (AFRM) qui souligne la nécessité de garantir des processus participatifs de la base vers le haut et inclusifs dans la mise en œuvre du PFRS, AWFISHENT s’appuie sur la création de chapitres nationaux représentant les transformatrices et transformatrices des poissons de tous les États membres de l’UA et de chapitres régionaux constitués de chapitres nationaux appartenant aux communautés économiques régionales respectives de l’UA a fait savoir l’experte et formatrice du secteur Patricia Maisha Ishingwa.
Le soutien des États membres de l’UA et des CER de l’UA et des organismes régionaux de pêche s’est avéré déterminant pour l’établissement et l’opérationnalisation des chapitres nationaux et régionaux d’AWFISHNET.
Cependant, à ce jour, indique-t-elle, seulement 44 chapitres nationaux et deux chapitres régionaux de l’AWFISHENT ont été lancés. Bien que le Réseau et ses sections aient fait d’énormes progrès, toutes les sections ne sont pas pleinement opérationnelles. Compte tenu des réalisations du Réseau en tant que réseau continental d’acteurs non étatiques, les membres d’AWFISHNET et ses partenaires se rendent de plus en plus compte de la nécessité évidente de réévaluer et de renforcer le statut institutionnel du réseau afin de garantir que le Réseau touche efficacement toutes les femmes qui travaillent dans le secteur et qu’il leur offre des services. Il est également important d’assurer la pérennité du réseau continental en favorisant la relève et rétention des connaissances acquises. A moins que cela ne soit fait, l’atteinte d’une voix inclusive sur les questions relatives à la participation des femmes, à l’appui d’un commerce régional équitable du poisson, à l’appui des objectifs du CPSR.le renforcement du réseau continental tirera également partie de la capacité des femmes et jeunes à exploiter les nouvelles possibilités dans le sous secteur de la pêche et l’aquaculture et de l’économie bleue. Les objectifs du Forum étaient de renforcer la capacité du leadership institutionnel ,de prestation des services, d’autosuffisance de croissance
Et, dans le cadre du mois des droits des femmes, chaque femme membre du Réseau a encouragé une autre femme par un cadeau.